Les travaux à l'initiative de Ferdinand II ont endommagé partiellement la nécropole chrétienne implantée autour de l'église, un tombeau a donc été édifié pour enterrer les ossements qui avaient été retrouvés. Sur la pierre tombale ont été gravés un croissant de lune, une croix et l'épitaphe suivante : « Seul Dieu peut séparer ce que l'homme a réuni », car on ignorait si ces restes humains appartenaient à des musulmans ou à des chrétiens.